• Le contrôle des modes de production en agriculture biologique ou en productions transformées ainsi qu'en cosmétique, doit être assuré par des commissions locales tripartites.
L'avenir de la bio passe par ces Commissions locales bénévoles, et chacun aura à coeur d'y participer, car le développement de la bio locale est générateur d'emploi locaux, mais aussi gage d'économie sur les énergies et le transport, moins de pollutions, moins d'emballages, réduction des gaz à effet de serres, moins de produits chimiques répandus sur Terre, et moins de poison dans notre organisme !
Ces Commissions Locales Indépendantes de Contrôle (CLIC) sont constituées de producteurs, de transformateurs et consommateurs locaux. Elles sont une alternative à la main mise des multinationales via l'UE sur le sytème bio !
Leurs interventions ne doivent donner lieu à aucune sorte d'indemnité ou de paiement en contre-partie.
Le cahier des charges est en partie celui de la bio actuelle, amélioré sur de nombreux aspects, ce par exemple, dans l'absence totale de compromis envers la chimie et les OGM (GMO), ou comme le refus des emballages plastiques, (polluant non autorisé). Mais aussi sans aucune tolérance envers les pollueurs qui doivent assumer l'entière responsabilité de leurs actes dégradants l'environnement, et cette responsabilité doit être jugée à la fois au niveau personnel et professionnel, et au besoin nécessiter des indemnités financières envers la communauté des êtres vivants.
A terme, ces pollueurs utilisant la chimie de synthèse doivent être non seulement considérés comme responsable, mais comme des criminels de l'environnement et des êtres vivants, car ils pratiquent en plus l'empoisonnement et la cancérisation de l'Humanité !